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 Des cendres du Passé aux flammes du Futur. [BG Anithia]

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Anithia
Osira
Osira



Messages : 25
Date d'inscription : 29/05/2013

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MessageSujet: Des cendres du Passé aux flammes du Futur. [BG Anithia]   Des cendres du Passé aux flammes du Futur. [BG Anithia] Icon_minitimeSam 1 Juin - 19:10

Première partie : Les Cauchemars de la Lune.


La nuit était douce ce soir là. Un vent tiède charriait les grandes plaines, soulevant des arabesques de pollens aux senteurs lourdes et sucrées. Les arbres bruissaient, accompagnant le chant discret des oiseaux nocturnes. Haut dans le ciel, les étoiles scintillaient au travers de quelques nuages filandreux. Et la lune gibbeuse couvait l'île de sa pâle clarté, nimbant les roches blanches d'une aura scintillante, étendant les ombres en des silhouettes fantasques, propices aux frayeurs enfantines et aux légendes de Merveille. Et dans cette nature endormie, au creux de quelques vallons paisibles, un hameau se peignait sur la toile verdoyante. Aux yeux du néophyte, il s'agissait tout au plus d'un corps de ferme, mais pour tout être doté d'un peu d'expérience ? Ah... Sentiez vous la fragrance du souffre et du cuir ? Celle de la paille fraîchement coupée mêlée à la subtile présence du sang ? Pouviez vous alors éprouver l'énergie vibrante en ces lieux ? Le fil de l'Histoire, ce carrefour de puissance et de savoir ? Un nœud dans la trame de l'Espoir, car ces quelques bâtisses agglutinées autour d'une grange n'étaient rien d'autre... qu'une Antre. Et une famille vivait en ces lieux, gorgeant les pièces étroites de rires d'enfants et de soupirs d'amants. Qu'il s'agisse des toits de pailles, des poutres de bois ou encore des murs de chaumes blanchies à la chaux ? Rien ne trahissait les joyaux que ce clan dissimulait au cœur de son foyer.

Car si les nuits portaient le souffle de Lysaia, plongeant les esprits dans un sommeil du juste, les jours ouvraient l'écrin qu'était la grange et offraient alors la vision de bêtes légendaires. Des écailles noires absorbaient la lumière du soleil, des gorges rougeoyaient et des souffles ardents s'élevaient dans le ciel en un salut majestueux pour cette aube nouvelle. Les vallées de l'île résonnaient de rugissements, la terre se labourait de griffes acérées et les carcasses de moutons se dépeçaient sous des crocs terribles. Rien ne semblait pouvoir atteindre cette famille d'éleveurs, eux qui dressaient une lignée de dragons depuis des générations, eux respectés par les villages alentours... Humbles Osiras exécutant une promesse ancestrale. Protecteurs d'une race ancienne de dragons, affinant le lignage de ces nobles créatures par de longs apprentissages. Et pourtant ? Sous le regard impuissant d'une lune gibbeuse, des ombres immenses cachèrent bientôt les étoiles. Silhouettes enténébrées, elles fondirent au delà des collines pour s'abattre sur les grandes plaines. Bientôt, elles entourèrent le hameau et s'approchèrent en silence.

Insouciante de ce que la nuit apportait de funeste, une enfant dormait paisiblement. Allongée sous des draps de coton, serrant contre elle une peluche de raptor, la fine silhouette rêvait d'envolées sauvages et de grandes étendues. Son sang d'Osira lui faisait souhaiter liberté et insouciance tandis qu'un sourire fleurissait sur ses lèvres. Les murs de la pièce étaient couverts de dessins, dévoilant un paysage aux grandes forêts avec d'innombrables dragons noirs et rouges. L’œuvre, née de la main d'un enfant, s'étalait sous des couches de peintures, coulant par ici ou s'effaçant de là. Des feuilles traînaient sur le sol, gouttant d'un petit bureau encombré de croquis ou de jouets en bois. Dés d'aquarelle, pinceaux chiffonnés, fusain mâchouilles... l'enfant était roi dans son terrain de jeu.

Mais aux abords ce cadre d'une tendre insouciance, la porte de la chambre s'ouvrit sans un bruit. Elle créa avec le couloir un courant d'air qui fit frissonner l'enfant. Dans un bruissement de draps, elle se replia autour de son doudou et poussa un petit gémissement d'aise. Aucun danger ne pouvait la menacer en ces murs, car après tout son père s'assurait tout les soirs de tuer les monstres sous son lits ! Dans le rideau de lumière porté par la flamme tremblotante de la lampe, la silhouette d'une femme se découpa sur le plancher ciré de la chambre. D'un pas lent, elle s'approcha du lit pour venir déposer le récipient de cuivre sur la table de nuit. Le souffle précipité, elle s'arrêta néanmoins pour observer ce petit visage arrondit par la jeunesse. Les longs cils blancs ombrant les joues veloutées, les petites mains serrant la peluche. Son cœur affolé se gorgea autant d'amour que d'une poignante tristesse. Alors, résignée à briser ce spectacle de douceur et de quiétude, elle porta une main tremblante sur les cheveux blancs comme neige de sa fille. La caresse fut légère ,alors que du bout des doigts, elle suivit la courbe d'une mâchoire avant de venir saisir l'épaule potelée. L'enfant eut un petit soupir, sourit dans son sommeil sous l'odeur familière qui l'entoura comme le plus doux des voiles. D'une voix somnolente, elle appela sa mère avant de chercher à s'enfouir de plus belle dans ses draps. Mais il n'était plus l'heure des rêves enchanteurs...


- Anithia !?

La voix douce, mais apeurée de la femme tira enfin l'enfant des bras de Lysaia. Des cils de coton s'ouvrit un regard aux reflets de lavande. Deux orbes d'une couleur de printemps, encore embrumés de sommeil, se rivèrent sur la femme et la contemplèrent sans comprendre. Mais les mots ne servirent à rien quand une violente secousse ébranla toute la maisonnée, faisant tomber paille et chaux du plafond. Des raclements résonnèrent sur les murs extérieurs, avant qu'un lourd silence ne s'impose. Aux oreilles de la petite fille, ne sembla plus résonner que les battements affolés de son cœur. Surprise, elle regarda autour d'elle sans comprendre, mais sa mère figée de terreur vint la serrer contre son sein. Ces bras qui l'avaient tant de fois réconfortés au réveil d'un cauchemar, furent cependant incapable d'apaiser l'inquiétude qui tenailla Anithia. Que pouvait-il se passer, semblaient dire ses grands yeux écarquillés ! La réponse funeste fut donnée sous le cri d'agonie d'un dragon, suivit par les hurlements de quelques maraudeurs en approche du bâtiment. Les deux femmes se figèrent alors qu'une sueur froide coulait dans le dos de l'adulte. Pourraient-ils survivre à cette terrible nuit ? La lune allait-elle être le témoin d'une injustice sanglante ? Que faisaient les Dracomanciens ?

Malgré ses questions, elle s'efforça de rester maître de ses émotions, aussi dans un sursaut, elle s'extirpa alors de sa terreur et fit descendre l'enfant du lit pour l'entraîner jusqu'au salon. Ici, les bruits de combats se faisaient davantage entendre, et la pièce d'habitude si rangée... Ce soir là, elle n'était qu'un désordre sans nom. Car la pièce, à peine plus grande que la chambre, si elle ne possédait que peu de meubles et une seule cheminée, semblait avoir été ravagée par une tempête. La lourde table de bois s'était vue renversée contre la porte, tandis que l'armoire à vaisselle reposait contre la fenêtre, bloquant ainsi les seules issues du salon.


- Mama... ?

La voix tremblotante de l'enfant s'éleva parmi tout le vacarme extérieur, tintement innocent dans l'agonie ambiante. Les cris d'hommes et de dragons portaient le message funeste d'une terrible attaque. Les chocs contre les murs ne pouvaient que laisser imaginer la violence des combats, alors que la chute des créatures depuis les cieux faisait vibrer le sol. Une vague odeur de feu et de bois brûlé s'infiltrait sous la porte, triste preuve qu’un incendie faisait rage au dehors. La mort alourdissait l’air, l’oxygène se faisant rare dans la petite pièce et déjà Anithia sentait un sommeil empoisonner l’attirer. Ignorant l’urgence de la situation, la femme baissa les yeux sur la chair de sa chair, elle resta de longues secondes à la contempler puis elle vint lui caresser le visage de mains fébriles.

- Ssh... Tout va bien.

Le mensonge était doux, mais pas assez pour apaiser le cœur terrifié de l’enfant. Avec un sourire désolée, la mère se mit à genoux et vint la serrer contre son sein tout en baisant ses cheveux avec désespoir. Dissimulée aux yeux de son enfant, elle pu verser quelques larmes alors que ses lèvres remuaient en une prière silencieuse pour les Esprits. « Que cette nuit ne soit pas la dernière pour la petite. » Un coup brusque assenné sur la porte d’entrée brisa l’étreinte et força la femme à reprendre ses esprits. Elle essuya ses larmes d’une manche, puis elle se mit à quatre pattes pour saisir les pans du tapis en peau de loup. Et alors que d’une secousse sèche, elle l’arrachait au plancher afin de révéler une trappe, elle se souvint de cette après-midi d’hiver où son époux était revenu de la chasse avec le trophée de son long combat. Combien de nuits avaient-ils alors passés à s’étreindre sur cette fourrure ? Combien d’heure Anithia avait-elle joué près de l’âtre à tirer les oreilles de l’animal mort ? Aux souvenirs doux-amers, de nouvelles larmes baignèrent les yeux de la femme qui inspira profondément et verrouilla sa peine au plus loin de son cœur. De ses doigts fébriles, elle saisit l’anneau de fer puis tira la lourde trappe dans un gémissement plaintif. Le bois massif craqua et les gonds grincèrent avant qu’enfin le battant ne s’abatte sur le plancher dans un claquement assourdissant.

- Descend Anithia !

Mais l’enfant fut incapable de bouger. Tremblante de la tête aux pieds, ses petites mains agrippaient le devant de sa chemise de nuit tandis que ses grands yeux écarquillés fixaient avec terreur la silhouette qui se profilait sous la porte d’entrée. Déformée, d’un noir plus profond que les cauchemars, la gueule béante soufflait un air putride sous le chambranle fissuré. La petite eut un hoquet avant de se mettre à trembler, comprenant enfin que son père n’avait pas réussi, cette nuit, à chasser les monstres de sous le lit. Mais alors que les larmes allaient débordés de ses cils blancs pour perler sur les joues bronzées, les mains douces mais fermes de sa mère la saisirent aux épaules. Il n’était plus temps de traîner. De force, la fillette fut descendue dans la cave et ses pieds nus touchèrent un sol meuble, humide. Clignant des yeux, elle regarda autour d’elle d’un air effaré, remarqua quelques barils et des étagères, puis enfin un étroit tunnel à peine plus haut qu’elle.

- Mama ?

Elle releva son attention sur la silhouette de sa mère. A genoux sur le bord de la trappe, la femme observait la petite forme terrifiée de son enfant. Son sourire tremblait, manquant de se briser sous les sanglots qui déjà secouaient les épaules frêles. Dans un pleurs étouffé, la femme se pencha dans l’ouverture et vint caresser la joue trempé de larme de sa fille. Elle se redressa pour saisir un panier qu’elle déposa au sol non loin de la petite. D’osier tressé, un chiffon beige recouvrait son contenu, mais par la forme dessinée sous le tissu et la chaleur qu’il dégageait, aucun doute ne pouvait subsister sur ce qu’il contenait. Anithia se pencha pour prendre le précieux bagage, malgré son poids et l’encombrement qu’il représentait dans ses bras potelés. Elle savait combien il était important de le préserver de tout danger. Avec un sourire, la femme acquiesça puis éleva sa voix alors que la porte se brisait dans un craquement assourdissant :

- Ne crains pas cette nuit... L'aube n'est qu'a un battement de cœur, l'espoir n'est qu'à un lever de soleil. Va, mon étoile... Bien que les ombres s’abattent, tu trouveras encore ton chemin !

A peine eut-elle fini ses encouragements qu’une gueule immense et hérissée de crocs ne s’abattait sur elle pour la déchirer en deux. Une pluie de sang se versa dans l’ouverture, gouttant tout autour de la fillette, maculant sa petite robe, souillant ses joues et embrassant ses lèvres tremblantes. L’enfant hurla de toute la force de ses poumons, tel un chant strident de terreur alors qu’elle ne voyait plus qu’un œil immense, reptilien au vert marécageux, emplir l’ouverture et vriller son attention malsaine sur elle.

- MAMA !?

Mais la seule réponse à son appel fut le terrible rugissement de l’engeance souillée qui ne parvenait pas à attraper sa proie. Alors il se redressa et se mit à labourer le sol de ses grandes pattes, brisant les planches les unes après les autres pour révéler progressivement la cache de l’enfant. Cette dernière, tétanisée, fut incapable de bouger durant les premières secondes. Mais quand la gueule du monstre tenta de la happer, que son haleine chargée de souffre et de sang caressa son visage, elle cria de nouveau avant de courir vers l’étroit boyaux souterrain. Trébuchant, le panier manque de lui échapper, mais ce fut à quatre pattes qu’elle parvint à fuir l’horreur de l’attaque. Poussant ou tirant son précieux paquet, elle ne tarda pas à trouver la fraîcheur de l’extérieur, quelques centaines de mètres plus loin. Hagarde, autant maculée de terre que de sang, les cuisses trempées d’urine, Anithia ne vit autour d’elle qu’un champ de blé. A perte de vue, les épis courbaient sous la caresse chaude d’un vent chargé de cendre. A contrecœur, mais guidée par cette implacable curiosité macabre, l’enfant se tourna pour contempler ce qui fut jadis sa demeure s’écrouler dans des gerbes de flammes et d’étincelles. Les silhouettes horrifiques des dragons maudits dansaient sous la lueurs de l’incendie, ombres terrifiantes qui s’imprimèrent dans l’iris de la fillette comme un fer rougeoyant.

Dans un sanglot, elle cacha son visage sale contre le torchon et pleura jusqu’à ne plus pouvoir verser une seule larme. Alors, les yeux asséchés malgré son cœur gonflé de peine, elle tourna le dos au spectacle d’un passé ruiné, pour avancer vers la forêt en contrebas des champs. Ses petits pieds s’écorchèrent sur les cailloux, sa robe de chambre se déchira dans les ronces, ses épaules furent rougies des branches qui les fouettèrent, mais pas une fois ses mains ne trahir la prise qu’elles avaient sur le précieux panier. La lune éplorée versa une lumière tamisée sur la fuite de l’enfant, couvrant sa marche par d’épais nuages. Les étoiles s’y dissimulèrent, terrorisée par le massacre d’innocents et même les oiseaux portèrent le deuil de la petite, silencieux manteaux couvrant sa frêle silhouette au cœur des bois. Malgré sa fatigue, malgré son envie de recommencer à pleurer, Anithia continua son périple jusqu’à l’autre face du bois, jusqu’à voir s’étendre devant elle les nuages bordant l’île. Alors, elle leva le nez vers l’immense dôme céleste et resta à attendre l’aube que lui avait promis sa mère. Déposant le paquet à ses pieds meurtris, l’enfant se mit à appeler l’astre solaire. Elle cria et implora qu’il vienne enfin chasser les cauchemars de la nuit. Que les plaintes de morts s’endorment et que viennent enfin le chant des vivants.

Et il arriva son soleil. Drapé d’or et déployant des ailes immense. Tirant avec lui les silhouettes incarnées d’un amère vengeance, il vola jusqu’à elle. Puissance ancienne, griffe et crocs d’ivoires. Ombre resplendissante, porteuse d’un être de force et de volonté... Il était là son soleil, atterrissant devant elle dans une gerbe d’étincelles, soufflant un vent chaud de liberté et d’espoir. L’enfant tomba à genoux, écrasé par le sublime de ce spectacle qu’elle n’espérait plus. Et avant de perdre connaissance, avant de sombrer dans les bras endeuillées de Lysaia, elle pu entendre la voix d’un homme lui souffler que tout allait bien. Qu’elle était sauve à présent... Oui mais, à quel prix ?
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MessageSujet: Re: Des cendres du Passé aux flammes du Futur. [BG Anithia]   Des cendres du Passé aux flammes du Futur. [BG Anithia] Icon_minitimeSam 1 Juin - 21:25

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sympathique ce RP, le dragon soleil ne serai ce pas le dragon de notre cher Magnus ? aurais t'il une fille adoptive cachée ? haha ce bon vieux Magnus toujours plein de surprises !

j'attend la suite car je me trompe peut être Smile
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MessageSujet: Re: Des cendres du Passé aux flammes du Futur. [BG Anithia]   Des cendres du Passé aux flammes du Futur. [BG Anithia] Icon_minitimeJeu 6 Juin - 16:27

Waaaaah ! Très beau, tu as une sacrée belle écriture, j'ai hate de voir d'autres belles choses comme ça !

Nous seront donc plusieurs a avoir un physique particulier ^^ On va finir pas créer une caste d'osiras bizarres !

(Oui je poste avec du retard, je met parfois du temps a tout lire :p)
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MessageSujet: Re: Des cendres du Passé aux flammes du Futur. [BG Anithia]   Des cendres du Passé aux flammes du Futur. [BG Anithia] Icon_minitimeVen 14 Juin - 21:12

pas de nouvelles ?
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MessageSujet: Re: Des cendres du Passé aux flammes du Futur. [BG Anithia]   Des cendres du Passé aux flammes du Futur. [BG Anithia] Icon_minitimeLun 24 Juin - 20:08

Toujours parmi nous, Anithia? Parce que bon ça fait une semaine que l'on ne t'entend plus donc j'espère que ta motivation est toujours d'actualité^^.
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